In a letter to General Hillier, Yves Cute, the National Defence and Canadian Forces Ombudsman, revealed that, on the military base in Borden, recruits: remained unaware of their linguistic rights; did not know how to report problems; had not received support from the chain of command; were facing longer waiting periods than their Anglophone peers for occupational training; and were not provided meaningful assignments or English language training.
Dans une lettre adressée au général Hillier, l'ombudsman de la défense des Forces armées canadiennes, M. Yves Côté, a révélé que, sur la base militaire de Borden, les recrues ne connaissaient toujours pas leurs droits linguistiques, ne savaient pas comment signaler les problèmes qu'ils éprouvaient, n'avaient pas reçu le soutien de la chaîne de commandement, devaient attendre plus longtemps que leurs collègues anglophones avant de commencer leur formation professionnelle et n'étaient pas employés de façon valable ou ne recevaient pas de formation linguistique en anglais.