Consequently, Canada, and the Minister of Foreign Affairs, who himself could chair the Security Council, must still make sure that this question is put to the Council and eventually the General Assembly of the United Nations, since it can deal with it should the Security Council be stymied by a veto.
Par conséquent, il faudrait que le Canada et le ministre des Affaires étrangères, qui peut présider lui-même le Conseil de sécurité, s'assurent quand même que le Conseil soit saisi de cette question et, qu'éventuellement, l'Assemblée générale des Nations unies en soit saisie, puisqu'elle le peut dans le cas où le Conseil de sécurité est arrêté par un veto.