Governments should examine closely loans given in the automotive sector or elsewhere to companies that, two, three, four or five years down the road decide to pack up and leave.
Je crois que les gouvernements doivent se pencher sérieusement sur les prêts que l'on accorde, que ce soit dans le dossier de l'automobile ou dans d'autres dossiers, à des entreprises qui, deux, trois, quatre ou cinq ans après, se retournent et disent: «Merci beaucoup, on s'en va».