Similarly, the nine paragraphs devoted to sustained development – even going so far as a world summit in Johannesburg in 2002 – can scarcely conceal, in the dark recesses of this vague concept that has become a kind of catechism, the quest for a global approach that would miraculously resolve the problems, facing Africa in particular, of under-development, the AIDS epidemic and the economic slavery and poverty so skilfull
y maintained by the free traders who do not pay the real price for cotton, cocoa, coffee and all the raw materials, i.e. the price
of the life of the ...[+++]people whose labour they exploit.
De même, les neuf paragraphes consacrés au développement durable - avec même un sommet mondial à Johannesburg en 2002 - cachent mal, sans l'obscurité de ce concept fumeux devenu une référence de catéchisme, la quête d'une conduite mondiale qui résoudrait miraculeusement les problèmes, pour l'Afrique notamment, sous développement, pandémie de sida, esclavage économique ou misère sciemment entretenu par les libres échangistes qui ne paient pas le coton, le cacao, le café et toutes les matières premières à leur vrai prix, c'est-à-dire le prix de la vie des hommes dont on exploite le travail.