One is that if we increase the amount of foreign ownership permitted, the control will go to foreign-based companies and that many facilities, whether they be R and D facilities or head offices, will be moved from Canada to the foreign country where the majority ownership is. That's one scenario.
Le premier, c'est que si l'on augmente la part de la propriété étrangère qui est autorisée, le contrôle passera aux mains d'entreprises étrangères et que de nombreuses installations, qu'il s'agisse d'installations de R-D ou de sièges sociaux, quitteront le Canada pour s'installer dans le pays qui devient le principal propriétaire de l'entreprise.