Given its difficult provisions, it is very difficult to exit the Canada-China investment treaty compared to NAFTA, for instance, which has a six-month exit clause that can be exercised by any one of the parties: Canada, the U.S. or Mexico.
En raison de ses dispositions contraignantes, il serait beaucoup plus difficile de se retirer de ce traité que de l'ALENA, par exemple, qui prévoit une disposition de retrait de six mois dont peuvent se prévaloir toutes les parties, soit le Canada, les États-Unis et le Mexique.