The walls erected in Ceuta and Melilla, for example, to ward off the arrival of men and women fleeing war, poverty and global warming, the walls stretching from the detention centres, the gates of our cities as far as the Libyan desert, via Lampedusa, where even children are locked up in the name of the Return Directive.
Les murs dressés comme à Ceuta et Melilla pour repousser l’arrivée d’hommes et de femmes fuyant la guerre, la misère ou le réchauffement climatique, les murs des centres de rétention, des portes de nos villes jusqu’au désert de Libye, en passant par Lampedusa où l’on enferme même des enfants au nom de la directive «Retour».