Because the NLF was not in a position to provide the loans in 1999, the UK Government agreed that Royal Mail would fund the transactions temporarily through the use of the cash reserves on its balance sheet, following UK policy that publicly owned bodies should generally not borrow from private capital markets.
NLF n’étant pas en mesure de concéder les prêts en 1999, le gouvernement britannique a accepté que Royal Mail finance les transactions temporairement en utilisant les réserves de liquidités inscrites sur son bilan conformément à la politique britannique qui prévoyait que les organismes publics ne devaient, d’une manière générale, pas contracter d’emprunt sur les marchés des capitaux privés.