We're suggesting while the best interest test, as it's set out in the Divorce Act, is fine in and of itself, in three cases in which the Supreme Court in Canada has had the opportunity to address this particular question—and my colleague and I have been in the Supreme Court on those three occasions—we've asked the court to say that the charter prevents this kind of religious inquiry and religious judgment.
Même si le critère du meilleur intérêt, tel qu'il est défini dans la Loi sur le divorce, ne pose en lui-même aucun problème, dans trois causes où la Cour suprême du Canada a eu l'occasion de se prononcer sur cette question particulière—et mes collègues et moi-même étions présents à la Cour suprême à l'une de ces trois occasions—nous lui avons demandé de dire que la Charte interdit qu'on enquête ou qu'on porte un jugement sur la religion.