However, a bare majority of the court — five out of nine — found that the practice of assessing personal records for material that would discredit or embarrass complainants, a practice that had now been around for only maybe five years, was now a constitutionally protected right for those accused of sexual assault.
Cependant, tout juste à la majorité, cinq des neuf juges de la Cour suprême ont conclu que la pratique qui consiste à évaluer les dossiers personnels comme documents qui pourraient discréditer ou gêner les plaignantes, une pratique qui n'existait à l'époque que depuis peut-être cinq ans, constituait dorénavant un droit protégé pour ceux qui étaient accusés d'agressions sexuelles.