According to accounts from sexual assault service providers, sexual offence survivors, and even lawyers, the range of records sought, the reasons cited for the records, and the ease with which they have been produced to defence counsel without careful scrutiny by a judge, can have devastating consequences for victims.
Si on croit les gens qui offrent des services aux victimes d'une agression sexuelle, les victimes et même les avocats, l'éventail des dossiers que l'on cherche à obtenir, les motifs invoqués et la facilité avec laquelle on les remet aux avocats de la défense, sans qu'un juge les examine attentivement, peuvent avoir des répercussions catastrophiques pour les victimes.