If Ms. Viau, before engaging in politics, had simply made an effort to read up on the Young Offenders Act, and before quoting a Quebec organization, had taken the time to at least read what that organization said when it appeared before the Justice and Human Rights Committee, perhaps her comments would make more sense.
Si Mme Viau, avant de faire de la politique, avait bien voulu se donner un peu la peine de lire son dossier traitant de la Loi sur les jeunes contrevenants et prendre le temps, avant de citer un organisme québécois, de lire au moins ce que cet organisme avait dit devant le Comité de la justice et des droits de la personne lors de son témoignage, on trouverait peut-être moins d'aberrations dans ses commentaires.