I'm not really an expert in the functioning of the Canadian labour market, but my sense is that perhaps Pierre's preliminary results exaggerated the extent of the gains to be had from edging the inflation rate up from 2% to 3%. My gut feeling, if you like, is that if we settle for an inflation rate of 2% or an inflation rate of 3%, you wouldn't be able to tell the difference in the measured unemployment rate.
Je ne suis pas expert du fonctionnement du marché du travail, mais j'ai l'impression que, dans ses résultats préliminaires, Pierre a peut-être un peu exagéré les gains découlant d'un fléchissement de l'inflation entre 2 et 3 p. 100. Je dirais, instinctivement, qu'on ne peut détecter de différence mesurable du taux de chômage avec des taux d'inflation de 2 ou 3 p. 100. D'ailleurs, j'estime qu'il y a bien d'autres choses, plus importantes que de débattre de cette fourchette.