Mr. Waldman, my question is fairly stra
ightforward. In the society where we live, where technology is so advanced that now we talk about electronic monitoring and so on, if a person comes in and he's not documented and we don't know who he is—we know how he got in, he flew in—then isn't it the responsibility of us as Canadians, as parliamentarians, to ensure we
understand all that information first, through interviews, and questioning, and perhaps our links to Interpol and foreign governments,
...[+++] before we even allow him into the society in general?
Dans notre société, où la technologie est si avancée que nous pouvons parler entre autres de surveillance électronique, quand un individu entre au pays sans les documents qu’il faut et que nous ne connaissons pas son identité — nous savons qu'il est arrivé par avion —, ne devons-nous pas, en tant que Canadiens et parlementaires, nous assurer de posséder toute l'information d'abord, par des entrevues et des interrogatoires, et peut-être utiliser nos liens avec Interpol et les gouvernements étrangers, avant même de le laisser entrer?