The first sign that it was not digested in actual fact probably was drawn to our attention by a man named Mepham in the U.K. in about 1990, when he pointed out that the IGF-1 which was increased in milk may not be destroyed in the gut, as was claimed by the manufacturers, because epidermal growth factor 8, which is another similar protein and another growth factor, was known to be protected by milk and you may get the same protection on IGF-1.
Un dénommé Mepham, du Royaume-Uni, a été le premier à attirer notre attention, vers 1990, sur le fait que le facteur n'était probablement pas digéré. Il avait remarqué que l'IGF-1 qui était plus abondant dans le lait était susceptible de ne pas être détruit dans l'intestin comme le prétendaient les manufacturiers, parce qu'on savait qu'un autre facteur de croissance, une autre protéine semblable, le facteur de croissance épidermique 8, était protégé par le lait et qu'il pouvait en être de même pour l'IGF-1.