In closing, if we do not take action and establish a policy, both for Quebec and Canada, that would allow this type of case to be processed within a maximum of 24 months—we believe that to be the longest period our investors are willing to tolerate—we run the risk that the most sophisticated and affluent investors will go elsewhere, and Canada will only choose second-tier investors, without meaning to be derogatory.
En conclusion, si l'on ne réagit pas afin d'élaborer une politique, tant pour le Québec que pour le fédéral, permettant de s'assurer du traitement de ce type de dossiers en 24 mois maximum — c'est le seuil de tolérance de nos investisseurs, selon nous —, on s'expose à ceci: les investisseurs les plus sophistiqués et nantis iront ailleurs, et le Canada ne sélectionnera que les investisseurs de deuxième niveau, sans être péjoratif.