It should, then, come as no surprise that, when faced with the merger proposals involving the Royal Bank of Canada, the Bank of Montreal, the Canadian Imperial Bank of Commerce, and the Toronto Dominion Bank, the reaction of Canadians is one of considerable reluctance.
Aussi n'est-il pas surprenant que, face aux deux projets de fusion des grandes banques, mis de l'avant par la Banque Royale du Canada et la Banque de Montréal ainsi que par la Banque canadienne impériale de commerce et la Banque Toronto-Dominion, les Canadiens soient des plus réticents.