However, the Court of Justice has held that this derogation must be limited to exceptional contexts, such as natural or technological disasters, attacks or serious accidents, and that the normal activities of such workers are covered by the Directive[10].
La Cour a néanmoins jugé que cette dérogation doit être limitée à des circonstances exceptionnelles telles que catastrophes naturelles ou technologiques, attentats ou accidents graves, et que les activités menées par ces travailleurs en temps normal relèvent du champ d'application de la directive[10].