There is substantial practical justification for that point of view, and there is some legal justification in the sense that there is a contrary, or at least separate, body of post-war international law, the convention against genocide of 1948, supplemented by subsequent laws like the convention against torture of 1977, all of which suppose a right and indeed a duty of intervention even if the UN doesn't authorize it.
Cette opinion est largement justifiée sur le plan pratique, et elle l'est également du point de vue juridique dans la mesure où il existe, dans le droit international de l'après-guerre, un texte contradictoire, ou du moins distinct, à savoir la convention contre le génocide de 1948, à laquelle s'ajoutent des lois comme la convention contre la torture de 1977, lesquelles supposent toutes le droit et le devoir d'intervenir même sans l'autorisation des Nations Unies.