Quand on parle de la réforme du secteur sucrier, abordée plus tôt au cours du débat, nous savons que nous avons non seulement la responsabilité de gérer et instaurer cette réforme dans l’intérêt des personnes que nous représentons, ou des personnes que vous représentez au sein de ce Parlement et dont je traduis aussi les intérêts, mais nous devons aussi nous assurer de porter assistance, aux fins de l’ajustement et de la restructuration, aux PED pauvres
et moins prospères pour lesquels le sucre est absolument essentiel non seulement à leur économie mais au tissu même de leur
...[+++]société.