In this setting, the excessive deficit in 2002 can only partially be explained by cyclical factors; the Commission's Autumn forecast implies that most of the deterioration in structural terms is due to yet another large shortfall in corporate taxes and a further strong rise in expenditures in the health sector.
Dans ce contexte, le déficit excessif de 2002 n'est qu'en partie imputable à des facteurs cycliques; il ressort des prévisions d'automne de la Commission que la détérioration enregistrée en termes structurels s'explique dans une large mesure par un nouveau déficit important des recettes de l'impôt sur les sociétés et un nouveau bond des dépenses de santé.