On behalf of her organization and of several environmental groups, she said that politicians, not scientists—and this is definitely an area where the voice of scientists should prevail over that of politicians—have the last word regarding the selection of species deemed to be at risk, when we should in fact call upon an independent group of experts to make an annual list.
Au nom de son groupe et de plusieurs groupes environnementalistes, elle disait que les politiciens et non pas les scientifiques—et c'est certainement un domaine où les scientifiques et la voix des scientifiques doit avoir préséance sur celle des politiciens—qui auraient le dernier mot sur la sélection des espèces considérées comme menacées, alors qu'il devrait s'agir plutôt d'un groupe d'experts indépendants auxquels on devrait faire appel pour établir une liste annuelle.