The question we can ask ourselves is this: if Burma's human rights record is so important that Canadian companies are not allowed to do business there, why is China, which also commits its share of abuses, which is also inconsistent in promoting human rights-as the 1,200 executions recorded in Amnesty International's latest report demonstrate-not subject to the
La question qu'on peut se poser est la suivante: comment se fait-il que si le dossier des droits de la personne est important en Birmanie, à ce point important que l'on interdit aux entreprises canadiennes d'y commercer, comment-se fait-il que la Chine, qui connaît aussi sa part de sévices, qui connaît aussi sa part de contradictions dans la promotion des droits de la personne -et on peut se rappeler le dernier rapport d'Amnistie internationale qui faisait état de 1 200 exécutions- comment se fait-il que la Chine, qui connaît sa part de bavures sur le plan des droits de la personne, ne fasse pas l'objet de cette même politique?