My second question is this: do you not believe that the psychology of a besieged fortress in Israel, which, in the past, was a driving force behind its foreign policy, now has much less justification, because the threat posed by what are becoming democratic regimes is very much less and also because democracies do not go to war against each other?
Ma deuxième question est la suivante: ne pensez-vous pas que la psychologie de la forteresse assiégée en Israël, qui a constitué dans le passé un moteur de sa politique étrangère, est nettement moins justifiée aujourd’hui parce que la menace est nettement moins grande de la part de régimes démocratiques et aussi parce que les démocraties ne se font pas la guerre?