So I think if we consider too the number of economists—prominent ones, and I can provide you with materials on this if you're interested—who take the Asian and Brazilian crises very seriously as an indication that in fact, yes, perhaps liberalization has gone too far, too fast, and we need to be looking at new strategies with regard to investment and trade to prevent these kinds of collapses, which in fact have had devastating impact on tens of millions of people around the world, I think there are openings there to simply slow down and assess, with full public participation, before going on.
De plus, de nombreux économistes très en vue, au sujet desquels je pourrais vous remettre du matériel si cela vous intéresse, reconnaissent que les crises asiatique et brésilienne nous indiquent trè
s clairement que la libéralisation est peut-être allée trop loin, trop rapidement, et qu'il faut envisager de nouvelles stratégies en matière d'investissement et de commerce
afin d'empêcher ce genre d'effondrements qui ont eu des effets dévastateurs pour des dizaines de mi
llions de personnes dans ...[+++] le monde. Des recommandations sont formulées qui suggèrent de ralentir le mouvement pour prendre le temps d'évaluer, avec la participation du public, les résultats avant d'aller plus loin.