There seems to be a recognition that subclause 32(2) was offensive, but instead of doing the logical thing and simply deleting the clause, we have the government coming forward now, with somebody on behalf of the minister drafting qualifying language such that if it is offensive that the minister is the ultimate arbiter in cases regarding the review of election appeals, then somebody will be designated by the minister to do it.
On semble admettre que l'article 32(2) était offensant, mais, au lieu d'opter pour la solution logique et de simplement supprimer la disposition, le gouvernement propose plutôt une disposition offensante concernant une personne désignée par le ministre, si bien que c'est le ministre qui est l'arbitre ultime en cas d'appels d'élection, puis on dit que quelqu'un sera désigné par le ministre pour le faire.