Senator Segal: In the early days in those subsequent days of the Cold War, the theory around mutual assured destruction — a huge and significant countervailing incentive for the Sovi
ets never to launch because of the ability of the other side, namely NATO countries, to launch in return the positioning of theatre weapons in Europe — as part of what really contributed to the Gorbachev decision to step back from that endless spending process and embrace discussions at Reyk
javik and elsewhere with ...[+++] the American president all seems to make the case that having a responsive capacity is a stabilizing effect as opposed to a destabilizing effect in most circumstances.
Le sénateur Segal : Au début de l'après-guerre froide, la théorie de la destruction mutuelle assurée — qui incitait fortement les Soviétiques à ne jamais lancer de missile en raison de la capacité de l'autre côté, à savoir les pays de l'OTAN, de déployer en retour des armes tactiques en Europe —, est l'un des facteurs qui ont amené Gorbatchev à mettre un terme à ces dépenses sans fin et à accepter de discuter avec le président américain à Reykjavik et ailleurs, ce qui semble indiquer que l'existence d'une capacité de réaction a dans la plupart des cas un effet stabilisant plutôt que le contraire.