According to Amnesty International, the Convention threatens the right to freedom of expression on the pretext of 'security', fails to incorporate safeguards for the rights of detainees, does not include a prohibition of arbitrary detention or a clear prohibition of torture, widens the scope of the death penalty in many countries under the pretext of punishing crimes of terrorism and does not prohibit its imposition against minors, pregnant women and mentally disturbed persons.
Selon Amnesty International, la Convention menace le droit de liberté d'expression sous le prétexte de la "sécurité", n'introduit aucun garde-fou pour le droit des détenus, n'inclut pas d'interdiction de la détention arbitraire ou d'interdiction claire de la torture, élargit la portée de la peine de mort dans de nombreux pays en se servant du prétexte de la sanction contre les crimes de terrorisme et n'interdit pas son application contre les mineurs, les femmes enceintes et les personnes souffrant de troubles mentaux.