Yesterday, we learned from the Privacy Commissioner, Jennifer Stoddart, that the Financial Transactions and Reports Analysis Centre of Canada, which is mercifully better known as FINTRAC, has in its database a considerable amount of information that should not be there — some information it does not have the statutory authority to have and some information it may have the statutory authority to have but is not necessary for FINTRAC to do its job, which is tracking money that might be used for terrorist financing and money laundering.
Hier, la commissaire à la protection de la vie privée, Jennifer Stoddart, nous a appris que le Centre d'analyse des opérations et déclarations financières du Canada, heureusement mieux connu sous le nom de CANAFE, possède dans sa base de données beaucoup de renseignements qui ne devraient pas s'y trouver. Dans certains cas, il n'a même pas l'autorité légale de posséder ces renseignements. Dans d'autres cas, il est habilité à le faire, mais il n'a pas besoin d'avoir ces renseignements pour assumer ses responsabilités, qui consistent à assurer le suivi de sommes d'argent qui pourraient servir à financer des activités terroristes et à blanchir de l'argent.