According to the Human Rights Watch report, on the one hand the LTTE refused the movement of civilians, but the Sri Lankan government has also contributed to the risk by detaining those who have managed to flee LTTE areas, including families in militarized detention camps, thereby denying them freedom of movement.
D'après le rapport de Human Rights Watch, d'un côté les TLET ont empêché les déplacements des civils, mais de l'autre le gouvernement du Sri Lanka a aggravé la situation en plaçant en détention dans des camps militaires des gens qui avaient réussi à fuir les zones contrôlées par les TLET, y compris des familles entières, et en les privant par conséquent de leur liberté de mouvement.