If the Prime Minister had been serious, he would have included a minimum of demands in Bill C-110, namely to limit federal spending powers, resolve the issue of residual powers, give Quebec more power over language matters, and recognize that Quebec is the only authority on language.
Alors, si le premier ministre avait été sérieux, il y aurait eu comme un minimum de revendications qui auraient pu être incarnées dans le projet de loi C-110, c'est-à-dire limiter le pouvoir de dépenser, la question du pouvoir résiduaire, reconnaître plus de pouvoir linguistique, reconnaître que le Québec est le seul et unique maître d'oeuvre en matière linguistique.