Will the Deputy Prime Minister indicate to us whether the Prime Minister intends to voice his condemnation of these unacceptable acts instead of settling for addressing human rights behind closed doors, thus condoning this shameful practice?
Le premier ministre suppléant peut-il nous indiquer si le premier ministre a l'intention de dénoncer ces actes inadmissibles auprès des autorités chinoises, au lieu de se contenter d'aborder la question des droits de la personne derrière des portes closes, et ainsi fermer les yeux carrément sur cette odieuse pratique?