The Commission must certainly seek to recruit the trust of the foreign ministries of the Member States, but it also needs to preserve the special prerogatives and experience that it has acquired over decades across the policy spectrum, from development to the environment and, of course, including trade.
La Commission doit sans conteste tenter d’obtenir la confiance des ministres des affaires étrangères des États membres, mais doit aussi préserver ses prérogatives spécifiques et son expérience acquise au fil des décennies dans l’ensemble de l’échiquier politique, notamment dans les domaines du développement, de l’environnement et, bien entendu, du commerce.