Some witnesses, such as the Co-operators group and the Canadian Association of Mutual Insurance Companies, felt that surpluses are communal property and, as such, should be treated by reinvesting that money in either the mutual industry as a whole, such as promoting the establishment of new mutual companies, or in the community by way of grants or charitable gifts.
Des témoins, comme le Groupe Co-operators et l'Association canadienne des compagnies d'assurance mutuelles, ont estimé que les surplus constituent un bien collectif et que, à ce titre, on devrait les réinvestir, soit dans le secteur mutuel, dans son ensemble, par exemple dans la promotion de la création de mutuelles d'assurance, soit dans la communauté, sous forme de subventions ou de dons de charité.