Based on their expertise in this area, they predict that the mandatory long-term detention as proposed in the bill will have a severe negative impact on refugee claimants' mental health, especially on the most vulnerable: children, pregnant women, and survivors of rape and torture.
À la lumière de leur expertise dans ce domaine, ils prévoient que la détention obligatoire à long terme, qui est prévue dans le projet de loi, aura de graves répercussions négatives sur la santé mentale des demandeurs d'asile, en particulier sur celle des personnes les plus vulnérables, à savoir les enfants, les femmes enceintes et les victimes de viol ou de torture.