By proceeding under GATT rather than NAFTA, it has been more or less confirmed that on issues that come under both GATT and NAFTA, the United States or other countries—well, the United or Mexico in the case of NAFTA—could simply rely on the GATT provisions. That left us out, because the GATT did not have to consider the cultural exemption contained in NAFTA.
En passant par le GATT plutôt que par l'ALENA, on a, à toute fin pratique, confirmé que, sur des questions qui relevaient à la fois du GATT et de l'ALENA, les États-Unis ou d'autres pays pouvaient tout simplement—enfin les États-Unis ou le Mexique dans le cas de l'ALENA—s'en remettre aux dispositions du GATT et là nous étions tout à fait dépourvus parce que le GATT n'a pas à prendre en considération l'exception culturelle de l'ALENA.