To take, today, the commemoration of the end of Nazi rule as an opportunity for depicting 1989 as the actual day of liberation, is to trivialise the Nazis’ regime of terror, to slander the Soviet Union and the immense sacrifices made by its people and the Red Army, and to encourage the resurgence of nationalism, right-wing extremism and the growing tendency to relativise the Nazis’ crimes in Europe.
Profiter aujourd’hui de la commémoration de la fin du régime nazi pour considérer l’année 1989 comme la véritable année de libération revient à banaliser le régime nazi de la terreur, à dénigrer l’Union soviétique et les énormes sacrifices consentis par sa population et l’Armée rouge et à encourager la résurgence du nationalisme, de l’extrémisme de droite et la tendance croissante de relativiser les crimes nazis en Europe.