It also shows – assuming maximized use of infrastructure and normal market conditions[8] – that when such six-month disruptions occur Russian volumes are replaced particularly through the import of additional volumes of LNG.[9],[10] Although ENTSOG has not modelled the price effects of the supply disruptions, the need to replace volumes will be accompanied by price increases triggering the import of significant additional volumes of LNG.
Il montre également – en supposant un recours optimal aux infrastructures et des conditions normales de marché[8] – que dans le cas de telles ruptures d'approvisionnement de six mois, les volumes de gaz russe seraient remplacés, notamment par des volumes supplémentaires de GNL importés[9],[10]. Bien que l'ENTSOG n'ait pas modélisé l'effet des ruptures d'approvisionnement sur les prix, la nécessité de remplacer les volumes de gaz s'accompagnera de hausses des prix qui déclencheront l'importation d'importants volumes supplémentaires de GNL.