This reminds me of Thomas Friedman, the New York Times columnist, who said in his editorial of 4 September that credit is a drug, banks are drug dealers, and the central bank is the Godfather.
Elles leur demandent de rembourser la totalité de leur crédit, immédiatement et en une seule fois, car les propriétés résidentielles de la région ont perdu toute valeur. Cela me rappelle les propos de Thomas Friedman, journaliste au New York Times, qui, dans son éditorial du 4 septembre, comparait le crédit à une drogue, les banques à des narcotrafiquants, avec la banque centrale dans le rôle du Parrain.