Environmental organisations are thus given a general right to contest and monitor the application of the law. That amounts to nothing more and nothing less than a system change in the implementation and control of the law as it stands in most of Europe’s Member States, with private bodies, in their guise as representatives of the public, being given the right to supervise the authorities.
Les organisations de protection de l’environnement se voient donc accorder un droit général de contester et de contrôler l’application de la législation, ce qui revient purement et simplement à un changement d’organisation de la mise en œuvre et du contrôle de la législation tels qu’ils sont réalisés dans la plupart des États membres de l’Union, avec des organes privés, en tant que représentants du public, qui sont habilités à surveiller les autorités.