However, the regrettable fact remains that no one from the ranks of the socialist and liberal groups was concerned about the protection of human rights when in October 2006, under the socialist government in Hungary, liberties were literally trampled to the ground in the streets of Budapest, or when the Slovak socialist government penalised minorities for the use of their mother tongue.
Il est bien regrettable qu’aucun représentant des socialistes ou des libéraux ne se soit soucié de la protection des droits de l’homme lorsqu’en octobre 2006, en Hongrie, sous un gouvernement socialiste, les libertés ont littéralement été foulées aux pieds dans les rues de Budapest, ou lorsque le gouvernement socialiste de Slovaquie a pénalisé les minorités pour l’usage qu’elles font de leur langue maternelle.