Here we are with CIDA, whose role, in a sense, is to be a kind of Canadian Mother Teresa—my apologies if my analogy offends anyone—helping third world countries, countries that are experiencing extreme difficulties, to become developing countries, or, at least, to improve the standard of living of their people.
C'est qu'on se retrouve avec une ACDI qui joue le rôle, en quelque sorte, d'une mère Teresa du Canada — pardonnez-moi si mon exemple offusque certaines personnes — et qui aide les pays du tiers monde, les pays qui vivent d'extrêmes difficultés, à devenir des pays émergents ou, du moins, à améliorer la qualité de vie de leurs populations.