The issue therefore is not whether a few tonnes of oil will be given to orphanages and old peoples’ homes, but whether the necessary funds will be given to Yugoslavia, to its legally elected government – let us once and for all respect international law fully, and not selectively – so that we can restore the damage and stop the political genocide of the Serbian people.
La question n'est donc pas de savoir si l'on va livrer quelques tonnes de pétrole aux orphelinats et aux asiles de vieillards mais si l'on va accorder les crédits indispensables à la Yougoslavie, à son gouvernement légalement élu - respectons le droit international à la fin ! - et non pas de manière sélective, pour permettre la reconstruction et mettre un terme à la politique de génocide à l'encontre du peuple serbe.