A wave of optimism swept the Canadian industry,which hoped to benefit from a vastly increased share of a properly managed stock ([21]) While the new 200-mile limit resulted in some rebuilding, fish stocks were apparently not in as good condition as everybody believed at the time ([22])
Une vague d’optimisme a déferlé sur l’industrie de la pêche canadienne, qui espérait tirer avantage de l’augmentation considérable d’un stock adéquatement géré([21]). Même si la nouvelle zone de 200 milles a permis un certain rétablissement, les stocks de poissons étaient plus décimés qu’on le croyait à l’époque([22]).