Six years later, on January 22, 2013, space junk created by this test is believed to have been responsible for striking a small Russian satellite out of its orbit, and it continues to threaten other objects orbiting Earth, including the International Space Station.
On croit que, six ans plus tard, soit le 22 janvier 2013, un débris de l'explosion survenue lors de cet essai serait entré en collision avec un nanosatellite russe en orbite et qu'il continue de menacer d'autres objets en orbite autour de la Terre, dont la Station spatiale internationale.