The Commission's investigation confirmed that, unlike in other cases, the need for state support did not stem primarily from excessive risk taking or unsustainable business models of the two aided entities, but from the separation from their respective mother company, which left them as undercapitalised stand alone entities, in particular not able to finance the upfront costs related to the merger.
L'enquête de la Commission a confirmé que contrairement à d'autres affaires, la nécessité d'une aide d'État ne résultait pas pour l'essentiel d'une prise de risques excessive ou de modèles commerciaux non viables de la part des deux entités bénéficiaires de l'aide, mais plutôt du fait qu'elles se sont séparées de leurs sociétés mères respectives et se sont ainsi retrouvées dans la situation d'entités autonomes sous-capitalisées incapables de faire face aux coûts initiaux liés à la fusion.