NGOs have sprouted up in response to the need and yet, some four years after the first United Nation's landmine conference in Geneva and over a year after the entry into force of the Ottawa Convention, we must recognise that many countries and thousands of people, usually in the poorest regions of the world, are still terribly afflicted by anti-personnel landmines and unexploded munitions.
Les ONG ont proliféré pour répondre aux besoins. Et pourtant, force est de constater qu'environ quatre ans après la première conférence des Nations unies sur les mines antipersonnel qui s'est tenue à Genève et plus d'un an après l'entrée en vigueur de la Convention d'Ottawa, de nombreux pays et des milliers de personnes dans le monde, le plus souvent dans les régions les plus pauvres, continuent à subir les terribles conséquences des mines terrestres antipersonnel et des munitions non explosées.