As we proceed through the budget implementation act, the more than 425-page omnibus Trojan Horse bill that is only a budget bill in name, in title but not in effect, we now know there will close to 1,000 or more amendments preceding to this bill, a situation that could have been avoided if the government had listened to reason at the beginning of this process and actually divided the bill into its component parts so Canadians could understand it and so members of Parliament could do our work.
Alors que se poursuit notre examen du projet de loi d'exécution du budget, qui compte 425 pages et qui est en fait un véritable cheval de Troie plutôt qu'une mesure budgétaire, nous savons maintenant qu'il fera l'objet de 1 000 amendements ou plus. On aurait pu éviter cette situation si le gouvernement avait été raisonnable dès le début du processus et avait scindé le projet de loi en diverses parties pour que les Canadiens puissent les comprendre et que les parlementaires puissent faire leur travail.