B. whereas human right groups and opposition political parties said that about 500 people were killed when Uzbek security forces fired into the crowds, while Uzbek President Islam Karimov blamed the violence on Islamist groups, denying that security forces had opened fire on unarmed civilians, and putting the death toll at only 169, most of them ‘Islamic extremist terrorists’,
B. considérant que les groupes de défense des droits de l'homme et les partis politiques d'opposition affirment qu'environ 500 personnes ont été tuées lorsque les forces de sécurité ouzbèkes ont ouvert le feu sur la foule, alors que le président ouzbek Islam Karimov rejette la responsabilité des violences sur les groupes islamistes, niant que les forces de sécurité aient ouvert le feu sur des civils désarmés et affirmant que le bilan n'est que de 169 morts, pour la plupart des "terroristes islamistes",