Because the Privacy Act is so out-dated, the Commissioner found herself in the unusual position of arguing that Crown corporations not be brought within the Privacy Act, as Bill C-2 proposes, but rather left where they are, so they fall within the modern private sector privacy statute, the Personal Information Protection and Electronic Documents Act (PIPEDA).
Parce que la Loi sur la protection des renseignements personnels est tellement démodée, la commissaire s'est retrouvée dans une situation inusitée et a dû soutenir que les sociétés d'État devraient être assujetties non pas à la Loi sur la protection des renseignements personnels, comme le propose le projet de loi C-2, mais plutôt à la Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques (LPRPDE), une loi plus moderne applicable au secteur privé.